Archive | août 2021

Le Souffleur De Sons

Le Souffleur De Sons 

tShmp7onsou reehd  · 

Un enfant est tombé dans la mer

Et la mer l’a porté dans ses bras

Un enfant est tombé dans la mer

Et la mer l’a déposé sur le sable

Le sable l’a pris dans ses bras

Et l’enfant a ouvert les yeux

Alors Le soleil l’a pris dans ses bras

Et l’enfant a vu la lumière

Il a pris la lumière dans ses bras

Et la lumière s’est endormie

Elle est devenue nuit

Et la nuit a pris l’enfant dans ses bras

Les étoiles étaient là aussi

Elles lui ont chanté une berceuse

Et l’enfant s’est endormi

Il a rêvé

Il a rêvé longtemps

De la mer du sable et du soleil

De la nuit et des étoiles

Et lorsqu il s’est réveillé

Je l’ai pris dans mes bras

Et il m’a dit

J’étais dans le ventre de la terre

Et je lui ai répondu

Je sais

Lorsque j’étais enfant

Elle m’a porté dans ses bras

Et je suis tombé dans la mer’

LSDS#lesouffleurdesons Photo: Jeremy Miranda

Un jour je partirai

Bientôt je partirai, Bientôt, je quitterai cette terre après y avoir fait mon temps. Mais avant de partir, j’aimerai aider mon prochain à y voir un peu plus clair afin de conduire sa vie le mieux possible et s’y trouver à l’aise.

Ceci s’adresse à ceux et celles qui croient dans l’au-delà, qui croient dans les réincarnations successives, leurs raisons d’être. Ce que je vais vous dire est le résultat de ce que j’ai compris quand je me suis posée des questions, auxquelles j’ai trouvé des réponses qu’il m’a fallu traduire en pensées ou actes clairs.

Lorsque nous naissons, nous arrivons dans la famille qui nous correspond le mieux et qui va nous permettre de réaliser les différents épisodes de cette vie qui nous a été donnée. Il en va de même pour l’époque, le lieu, l’histoire les conditions qui seront le siège des nos expériences à venir.

Donc première réflexion :

1) Il n’y a aucune erreur quand au milieu (défavorisé ou non) dans lequel nous commençons notre expérience.

2) nous avons été jugé capable de faire face à tout ce qui pourrait se produire tout au long de notre existence et les moyens nous ont été donné pour cela.

3) avant de nous réincarner, nous avons accepté la mission que nous devons accomplir.

Nous sommes nés et……………….. nous avons tout oublié ce qui était également prévu car nous devrons, tout au long de notre existence :

a) trouver le sens des événements qui jalonnent notre chemin,

b) comprendre la raison de ce que nous pourrions considérer comme une ou des injustices alors qu’il ne s’agit que d’épreuves destinées à peaufiner notre personnalité et nous inciter à sans cesse relever le défi.

Si nous acceptions dès le début de ne voir aucune injustice dans ce qui nous arrive, nous serions bien plus à même d’analyser les faits et d’essayer de trouver comment résoudre l’énigme posée. Cela s’appelle « positiver »

Lorsque nous sommes sur ce chemin et qu’il commence à porter ses fruits, nous constatons que des mots ont disparu de notre vocabulaire : « injustice, égoïsme, colère, vengeance, souffrance car à partir du moment où nous donnons une définition positive aux événements qui nous entourent, ils sont remplacés par : « question, réflexion, envie d’essayer, choix des moyens ».Cela revient à dire qu’à partir du moment où nous acceptons d’admettre que nous sommes responsables et non victimes, nous acceptons par la même, la mission qui nous a été confiée et que nous voulons remplir car il y va de notre réputation envers nous-mêmes.

Comme je l’ai dit en début d’article, je suis en fin de parcours, le plus dur et le plus long est fait et si je me permets aujourd’hui d’écrire ces lignes c’est parce que cette façon d’appréhender les événements, de leur donner la place qu’ils méritent m’a permis de trouver parmi tout ce que le monde contient de laid, de cruel, d’injuste, des choses magnifiques que je n’aurais pas vu si mon cœur avait été plein d’amertume et mes yeux pleins de larmes.

J’ai vu ici et là, dans le monde, des gens merveilleux, talentueux, ingénieux, bons, simples, dévoués, défenseurs de causes soi-disant perdues. Ces gens là se battaient contre vents et marées sans s’occuper de ce que les autres pouvaient dire ou penser car ils étaient portés par un idéal dont ils ignoraient même parfois l’existence.

Chacun a reçu une vie, il doit en faire quelque chose, pourquoi ne pas essayer d’y trouver des raisons d’aimer, d’espérer, de réussir non pas dans la vie, mais « sa vie » tout simplement.

Yaël

LETTRE ÉCRITE PAR H REEVES À UN ENFANT À NAÎTRE.

Lettre extraite du livre Le banc du temps qui passe,

Méditations cosmiques

Cher enfant,

Bientôt va débuter pour toi une merveilleuse et tragique expérience.

Quelque part dans l’immensité de l’univers, à la périphérie d’une galaxie appelée la Voie Lactée, près de l’étoile Soleil, sur la troisième planète de son système, la Terre, tu vas naître. Des myriades de petits spermatozoïdes vont monter à l’assaut dans le ventre obscur de ta mère. Le gagnant pénétrera son ovule et tu vas entrer dans l’existence.

Tu es le fruit d’une longue gestation qui se poursuit depuis près de quatorze milliards d’années. Tout a commencé dans la lumière éblouissante d’un gigantesque et torride espace. Ne me demande pas ce qu’il y avait avant, je n’en sais rien.

Par la suite, dans l’ambiance de collisions de galaxies, d’explosions d’étoiles, de chocs d’astéroïdes, sur une planète tiède tu vas naitre. Suite à une longue séquence d’accouplements et de naissances tu auras acquis ton fabuleux cerveau qui te permettra de poser des questions.

Tu découvriras que tu n’es pas seul dans ce monde, tu seras accompagné dans ton séjour terrestre par une famille, une nation, plus de sept milliards d’êtres humains et d’innombrables animaux et plantes de toutes espèces. Tu devras partager ton existence avec eux. Tu dépendras d’eux et ils dépendront de toi.

La durée de ton existence sera, au mieux, de l’ordre d’un siècle, une durée infime par rapport à celle de l’univers. Pendant ce temps il te sera possible d’explorer le monde et de prendre conscience de tes devoirs et de tes responsabilités. Tu auras à affronter le cycle de la vie humaine avec ses moments de grâces et ses crises. « De temps en temps la terre tremble », écrit le poète Louis Aragon.

Contrairement aux abeilles et aux oiseaux, ta destinée ne sera pas inscrite dans tes gênes, tu devras la décider toi-même. Il te reviendra de t’instruire pour trouver les moyens de favoriser et d’enrichir la vie autour de toi. Œuvrer à humaniser une humanité qui en a un grand besoin. D’inscrire ton activité pour amener la matière cosmique à accoucher des merveilles dont elle possède les recettes.

Tu auras l’immense chance d’entrer en contact avec le grand trésor de la culture humaine. Accumulé depuis des millénaires, les œuvres d’art – musique, peinture, littérature qui ont contribué à embellir nos vies. Les réflexions des penseurs de toutes les cultures, qui se sont penchés sur les mystères de notre existence.

Tu pourras t’approprier ce riche patrimoine, en faire ton profit, aider à le préserver contre l’oubli et peut-être y contribuer toi-même. Tu laisseras en héritage les fruits de ton activité pour que ceux qui viendront après toi poursuivent la grande aventure de l’univers.

Sache que, dans ce monde, il y a de la compassion et de l’amitié. Mais il y a aussi de la méchanceté, de la cruauté, de l’horreur. Tu y seras peut-être confronté. Refuse obstinément d’y participer. II en va de ta dignité d’être humain.

Fais-en sorte qu’on dise de toi ces mots d’Albert Camus « il y a des êtres qui justifient le monde, qui aident à vivre par leur seule présence ». Tache d’être à la hauteur de ta destinée. Ta vie y prendra son sens. Tu y trouveras ton bonheur.

Hubert Reeves

C’est d’abord une erreur par ignorance, ensuite c’est de la stupidité

Association Fidji’s Paradise

1tSdtpoSl nsoredh  · NON, une étoile de mer hors de l’eau n’est pas “Instagramable”.

Chaque été on peut voir ce genre de photos fleurir sur les réseaux sociaux, ce qui pourrait paraître un geste anodin. Et pourtant sachez qu’une fois sortie de l’eau même le temps d’une photo, l’étoile de mer agonise d’asphyxie et est rapidement brûlée par les UV du soleil car elle n’est tout simplement pas faite pour subir ça.

Tout le monde a fait ce genre de chose une fois dans sa vie, ça s’appelle faire une erreur par ignorance…. La répéter en toute connaissance de cause s’appelle de la STUPIDITÉ .

Apprenez à vos jeunes enfants (et les adultes aussi) à admirer les être-vivants marins (et terrestres) dans leur milieu naturel. Préservons la mer de nos enfants…!

JE VEUX RESPIRER LA VIE

Plateforme animalière touche pas aux animaux  · Rejoindre

Fabrice Marchand  · tio1Spo6 nSmhsoroed  · 

Lettre d’un activiste chinois.

Quand je mourrai, je veux mourir en sachant que j’ai été la meilleure personne que j’aurais jamais pu être. Que j’ai fait tout ce que je pouvais faire. Que mes mains ont réanimé la vie de ceux qui ne pouvaient pas respirer seuls.I

l y a tellement de souffrance dans le monde. Je la vois tous les jours, elle s’attarde entre mes mains lorsque je sauve les cas de torture que je trouve.

J ‘ approche de ma poitrine les chiens blessés et maltraités et je ne comprends pas…

Pourquoi il y a tant de haine dans le monde.

-Parce qu’il y a des guerres au nom de la foi et de la religion.

-Parce que les gens bombardent et commettent des meurtres massifs.

En tant que personne appartenant à une espèce, je me demande pourquoi l’évolution n’a pas été atteinte par l’humanité. Je me demande comment les gens sont liés par une culture qui n’a récolté que de la poussière, comme un livre laissé pendant longtemps sur une étagère. Je me demande, étant sensible à toutes les créatures, pourquoi tant de cruauté existe-t-il encore dans le monde ?

Dans la province de Tongzhou en Chine, je me suis aventuré hier dans un abattoir géré par une petite communauté. Il y avait des chiens, des chats, des lapins, et la peur qu’il respirait aussi des murs avec une telle intensité que je pensais que j’allais mourir avec les animaux à cet endroit. Lorsque mon âme s’est glissée dans ce trou sombre, il me semblait que mon cœur saignait et que le sol pouvait s’effondrer sous mes pieds .Je ne peux pas exprimer en mots ce que j’ai vu. Je ne peux sans doute même pas peindre l’encre de mon stylo à l’aide d’un pinceau. J ‘ ai vu des créatures vivantes enchaînées à des tables avec leurs organes exposés. Crier. Certains sans pattes. Certains sans yeux. Toujours en vie… Crier. J ‘ ai demandé pourquoi ne pas les tuer avant. Ils ont dit que c’était dans leur culture et qu’ils l’ont toujours fait pendant des années.

L ‘ esclavage… la culture. Lynchages, pendaisons sont culturelles. Qu ‘avons-nous appris de l’histoire ?

L ‘ histoire devrait être un pont qui ne nous apprend pas quoi faire mais comment faire mieux.

J ‘ ai dit à cet homme que la plus belle chose au monde ne se trouve pas dans la mort. Il se trouve en respirant la vie d’autres êtres vivants. Il n’y a que du sang dans la mort Juste destruction. Il n’y a pas d’amour Aucun espoir. uste le néant. Son visage avait un regard fixe Il ne pouvait pas comprendre ou peut-être qu’il s’en fichait.

J ‘ ai sauvé tous les chiens que j’ai pu surtout ceux qui seraient assez forts pour survivre au transport. J ‘ ai sauvé trois chats et libéré deux lapins. L’un d’eux est mort, j’ai posé le visage sur son corps et j’ai pleuré avec l’espoir qu’il ne se sentait pas seul dans les ténèbres. Le plus grand cadeau de la vie, ce n’est pas la mort, c’est de respirer la vie et vous savez quoi ?… Le plus grand cadeau dans la vie est de donner

Mon cœur est ouvert aux gens autour de moi. Et si j’ai appris quelque chose de mon voyage de retour dans cette nuit sombre, c’est que nous devrions tous respirer ceux qui sont autour de nous, car c’est tout ce qu’il faut pour changer les choses. Respirer la vie et donner la vie.

Vous savez ce qu’est le Micilio ?

Kris Thel

ct2 unSduhpaloûomtn,isn 1hos9:3lrg3esda  Quand j’étais à l’université, je l’ai souvent étudié, mais dans ces années-là, c’était juste une théorie, quelque chose qu’il fallait apprendre pour un test.

Hier soir alors que je regardais une émission à la télé (COSMOS), j’ai encore entendu parler de lui, et j’ai été émerveillée.

Le mycélium ou le mycorriza est un champignon qui s’étend sous le sol en créant un réseau de connexion entre toutes les espèces végétales, quelque chose comme le réseau internet, qui leur permet non seulement de communiquer mais aussi de prendre soin de soi, de se protéger, de se nourrir, S ‘ approvisionner en eau.

Lorsque l’on abat un arbre de la forêt, ce mycélium, communique aux autres arbres de la forêt, que l’un d’entre eux est en train d’agoniser et que tous les autres arbres à travers le mycélium commencent à prendre soin du tronc qui reste pour essayer de sauver cette vie. Ils le nourrissent, lui donnent de l’eau, le protègent. Parce que cette bûche mourante fait partie de la famille de la forêt.

Pourquoi notre espèce qui se croit si supérieure et ne peut pas voir ça ?

Pourquoi nous nous croyons si intelligents et supérieurs aux autres espèces?

Pourquoi nous déconnecter tant de nos frères d’autres espèces.

Tout a un langage. C ‘est le langage universel. Apprenons à nous reconnecter avec cette langue qui n’est pas verbale, afin de comprendre que nous faisons tous partie de la même chose.

Nous ne sommes ni supérieurs, ni inférieurs. Nous sommes juste comme des bébés qui manquent encore beaucoup à apprendre de nos grands frères, des arbres et des bois, et surtout apprendre de notre Terre Mère.

Trois gouttes de lumière…

Le blogue de Normand Nantel

LES TROIS CHOSES…

Dans la vie trois choses ne reviennent jamais:

Le temps – Les mots – Les opportunités

Il y a trois choses que vous ne devez pas perdre:

La patience – L’espoir – La dignité

Trois choses valent plus que toutes les autres:

L’amour – Les principes – La confiance

Les trois choses les moins fiables du monde:

Le pouvoir – La fortune – La prospérité

Trois choses qui définissent une personne:

L’honnêteté – Le travail – Les résultats

Trois choses qui détruisent une personne:

Le regret – L’orgueil – La rage

Trois choses difficiles à dire:

Je t’aime – Je te pardonne – Aide-moi

Les trois choses qui donnent de la valeur à une personne:

La sincérité – L’engagement – La cohérence

La vie nous offre souvent plusieurs opportunités… Mais nous sommes tellement occupés qu’on ne s’en rend pas compte.

La vie est précieuse. Nous devons nous…

Voir l’article original 8 mots de plus

Pourquoi dit-on…? (Partie 5)

Le blogue de Normand Nantel

La Une

Voici quelques expressions du quotidien, mais qu’en est-il de leur histoire ?

MENER QUELQU’UN EN BATEAU

Les personnes les plus rusées n’ont aucun mal à «mener quelqu’un en bateau», à le duper.

Cette expression est née d’une confusion entre les mots «batelier» et «bateleur».

Si le premier désigne bien le pilote d’un bateau fluvial, le second qualifie un saltimbanque du Moyen Âge. À cette époque, ces bouffons divertissaient les passants grâce à des tours d’adresse. Le terme vient d’ailleurs de l’ancien français baastel (dictionnaire de l’ancienne langue française), qui signifie «tour de passe-passe».

Ces amuseurs étaient réputés pour leur habileté à tromper les spectateurs. Au fil des siècles «bateleur» et «batelier» se sont confondus dans le langage, en raison de leur orthographe très proche.

Lorsqu’un menteur menait une personne naïve dans son bateau, cela voulait donc dire qu’il l’amenait avec lui, dans son jeu.

TIRER À QUATRE ÉPINGLES

Voir l’article original 856 mots de plus